Les prédestinés #5
Relooking saisonnier
Vous commencez à en avoir l'habitude : sur ce blog, le relooking saisonnier est de rigueur.
J'espère que l'ambiance automnale vous plaît !
Fabrication du poulailler
Je vous en ai déjà bien parlé : notre poulailler est maintenant achevé.
A gauche se trouve le poulailler qui abrite les poules et à droite les deux clapiers que l'on a réunis pour plus de confort. Un poulailler 5 étoiles !
A savoir : pour dérouler un grillage, il faut d'abord arriver à trouver la p*** d'extrémité du fil de fer qui maintient l'ensemble serré, et le dérouler sans éborgner son oeil gauche, son conjoint ou le pauv' chat qui passe par là. Les yeux fermés donc. Ensuite, il faut lutter contre :
- les bouts qui sont accrochés et empêchent de dérouler ( les redresser un à un, si t'as pas de gants tu finiras avec un moignon),
- le coin droit qui a tendance à se rouler vers la gauche,
- le coin gauche qui veut rejoindre celui de droite,
- la partie pas encore déroulée, qui veut déjà se renrouler.
Alors, à moins de vouloir finir lourdement handicapé, demande de l'aide. Y'a pas de honte. Vicieux, le grillage.
La famille Adams s'agrandit !
Patator et Garenne sont heureux de vous annoncer
l'arrivée tant attendue de nos triplées
Gallinator, Flamme-peut-être et Nom-débile-à-trouver-pour-une-poule-blanche.
La toute première confrontation s'est déroulée hier sous nos zyeux zéblouis dans notre poulailler récemment achevé. La méfiance a passagèrement laissé place à l'affolement gallinesque lorsque Garenne, lapine sous amphèt', s'est brutalement mise à courir et faire des bonds partout. De la plume a volé et Patator s'est terré. Le courageux.
Garenne vue de haut et Patator
Depuis, l'équilibre a été atteint, les trois poules solidaires s'étant serrées pour dormir ... sur le clapier.
Prochaine étape : la ponte, d'ici un mois. La famille Adams vous tient au courant.
Les enseignements de la rentrée
Eh oui, tous ces débuts d'année sont sources d'apprentissages. Par exemple, j'ai appris lundi matin que le TER que junior prend pour aller en prépa n'est ABSOLUMENT pas fiable. Tout simplement ANNULE. Sans annonce ni explications bien sûr. Je m'en doutais un peu, dans notre région c'est de notoriété publique que la SNCF est ... comment dire gentiment ... capricieuse. Lui pour qui ce trajet constitue "le meilleur moment de sa journée " - c'est dire si le reste est folichon - il est sacrément déçu. Et moi je me demande combien de galères on va encore avoir au cours des deux ans (minimum) qui viennent parce que j'ai dû instantanément me transformer en pilote de bolide pour l'emmener à un arrêt de bus, finir ma tournée au collège et enfin arriver en retard au boulot, frisant la panne d'essence. Ca vous lance la semaine, hein.
J'ai appris également qu'il est possible dès la deuxième semaine qu'un rhume digne d'un hiver chez les Stark vienne m'agresser le groin au point de m'obliger à dormir un kleenex enfoncé dans ledit groin pour limiter les risques de fuites. Top glamour. J'ai tourné le dos à l'Homme pour éviter de saborder notre mariage (je n'imagine même pas les conséquences d'un éternuement). Je n'ai en revanche pas pu éviter les ronflements et autres bruits parasites.
Fort heureusement, l'Homme dort bien.
Et vous, qu'avez-vous appris cette rentrée ?
Une rentrée sous le signe du poulailler
La rentrée, c'est un moment bien rôdé maintenant. Certes, il subsiste tous les effarements de ce début de mois, mais cette année je me suis mise en mode zen, ne me demandez pas comment. J'ai suffisamment anticipé pour pouvoir avoir 4 rendez-vous d'un coup chez le médecin pour faire faire ces foutus certificats pour le sport ( on a campé 1h30 dans son cabinet), et on sait quelles seront nos activités. Donc no stress. Il manque des fournitures scolaires. Pas grave.
Tout ça pour dire que ce qui nous occupe le plus en ce moment, c'est plutôt notre poulailler. Eh oui, je vous en avait déjà parlé, nous allons avoir des poules. Trois, pour être exacte, qui nous ferons de bons oeufs, et que nous acheterons ce week-end. Si leur enclos est fini, du moins. Parce que l'Homme et moi avons la fibre bricoleuse, et nous construisons un enclos dans lequel nous installerons poulailler et clapier. On aime que les animaux soient bien chez nous, et les poulaillers du commerce nous semblent quand même un peu étroits. Ainsi, pour le bonheur de nos futures volailles, je me ravage les mimines à poser du grillage. Le grillage, ça pique et ça griffe, j'ai l'air d'avoir subi une attaque de six chats sous amphét'. Je ne suis même pas sûre que les poules en seront reconnaissantes...
Et surtout, surtout, depuis ce week-end, la famille s'est agrandie : le clapier est habité ! Nous y avons mis un cochon d'Inde et une lapine. Patator et Garenne. Qui ont ma foi l'air de bien s'entendre, si bien même que Patator semble vouloir fonder une famille nombreuse. Et il déploie pour ce faire une débauche d'énergie incroyable pour arriver à escalader Garenne, quatre fois grosse comme lui. Il saute, glisse, et se retrouve la tête sous les pattes de la lapine, on rigole bien.
Présentations officielles : Garenne et Patator